Blagues pour finir la semaine en rian

Blagues pour finir la semaine en riant

Trois chiens sont chez le vétérinaire : un danois, un berger allemand et un labrador.
Le labrador demande au berger allemand ce qu’il vient faire chez le véto :
-Je viens pour l’euthanasie. Des enfants jouaient dans la cour, j’ai voulu jouer avec eux et j’ai mordu une petite fille. Mes maîtres ont donc décidé que je représentais un danger pour les enfants… et toi ?
-Je vais connaitre le même sort que toi. Je dois ça au facteur. Quand il entrait dans la cour, il savait que j’étais attaché et il en profitait pour me provoquer. Il me lançait des roches, faisait semblant de bondir vers moi… Mais ce matin je n’étais pas attaché et il ne le savait pas. Je lui ai sauté dessus et je lui ai fait la passe des « quatre fers en l’air » mais mes maîtres n’ont pas accepté. Et toi le danois ?
-Moi j’étais allongé sur le tapis de la cuisine avec un rayon de soleil qui me réchauffait le poil. Ma maîtresse faisait la vaisselle. Elle était toute nue. Tout à coup, elle fait tomber une fourchette. Lorsqu’elle s’est penchée pour la ramasser, vu que je ne suis pas fait en bois, je l’ai « sautée ». Oui les gars, j’ai sauté ma maîtresse.
-Alors toi aussi tu es ici pour la piqûre ?
-Non. Je suis ici pour me faire couper les griffes !
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Deux potes se retrouvent dans un bar pour boire un verre. L’un dit :
-Oh, tu n’as pas l’air d’aller bien, toi !
-C’est vrai, tu as raison. Le jour de mon mariage, j’ai promis à ma femme de mettre un billet de 10 euros dans sa tirelire, chaque fois qu’on ferait l’amour. Mais hier, en ouvrant la tirelire, j’ai constaté qu’elle était pleine de billets de 20 et 50 euros ! Je lui ai demandé des explications, et elle m’a répondu :
-Qu’est-ce que tu crois ? Tout le monde n’est pas aussi radin que toi !
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En Égypte, un touriste veut louer un chameau. C’est la première fois. Le commerçant explique : « Pour le faire avancer, dites ‘Ouf’, pour le faire trotter, ‘Ouf ouf’, et pour galoper ‘Ouf ouf ouf’, alors il ira aussi vite que le vent. Pour l’arrêter, c’est ‘Amen’ ! »
Le gars s’aventure dans le désert. Il a tôt fait d’apprendre à conduire et s’en donne à cœur joie dans un galop à couper le souffle, quand il remarque qu’il va droit sur un précipice. Il ne se souvient plus du mot qui stoppe la course.
En un éclair, il juge la situation et se voit chuter avec le chameau dans le gouffre. La mort, la prière, il se souvient et crie « Amen ».
Il était temps ! Dans un nuage de poussière, sa monture a freiné des quatre fers ; au bord de l’abîme rocailleux des pierres roulent dans le vide béant, sous les pattes du chameau.
Encore sous le choc, le type s’essuie le front de la main et pousse un soupir de soulagement « Ouf ! »…
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C’est deux types sous la douche après un match de tennis …
Le premier remarque que le second a un énorme bouchon enfoncé entre les fesses.
Il lui dit :
– Dis donc, t’as vu ? T’as un bouchon dans le c*l !
– Oui, oui, je sais ! … répond l’autre en soupirant. Ça date d’avant-hier, je m’étais engueulé avec ma femme et je suis sorti faire une balade pour me calmer. En marchant, j’ai machinalement botté dans une vielle lampe à l’huile toute rouillée.
– Et alors ?
– Alors un drôle de type en est sorti et s’est mis à gueuler : « Bonjour, je suis Léon le génie… tu m’as libéré… je t’accorde un voeu » .
– Et alors ?
– Alors j’ai répondu énervé : « Me fais pas chier, OK ! »
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C’est un homme chez le médecin, il s’adresse à lui :
« Hier, je suis rentré chez moi un peu plus tôt, et ma femme était dans mon lit avec mon voisin. Je suis parti dans la cuisine, j’ai pris un couteau, je me suis dit « je vais les égorger tous les deux et moi avec ». Et là docteur, un self contrôle ! Je pose le couteau, je ferme le tiroir, je fais un petit café et je réfléchis cinq minutes.
Le Lendemain, rebelote. Je rentre chez moi un peu plus tôt. Ma femme était dans mon lit avec mon voisin et mon cousin. Je suis parti prendre un pistolet, je me suis dit « je vais les tirer sur eux deux et moi avec ». Et là docteur, un self contrôle ! Je pose l’arme, je ferme le tiroir, je fais un petit café et je réfléchis cinq minutes.
Le surlendemain, je rentre chez moi un peu plus tôt. Ma femme était dans mon lit avec mon voisin et le concierge. Je suis parti prendre un fusil, je me suis dit « je vais les fusiller tous les deux et moi avec ». Et là docteur, un self contrôle, je pose le fusil, je ferme le tiroir, je fais un petit café et je réfléchis cinq minutes.
Dites-moi docteur, c’est pas dangereux pour moi tous ces petits cafés ? »